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Groupement forestier

Forêt groupements forestiers investissement vert responsable

Les groupements forestiers

Mettez votre épargne au vert grâce à un investissement dans un Groupement forestier.  La forêt permet de déconnecter son épargne des marchés boursiers et immobiliers avec des avantages fiscaux à la clé.

À l’heure de l’épargne « responsable » et « durable », voici un placement qui fera respirer le grand air à votre argent : la forêt.

  • La diversification.

Ces groupements permettent à partir de 1000 euros, d’accéder à un patrimoine forestier largement diversifié en termes d’essences, de zones géographiques et de maturité de la forêt. 

Des feuillus, des résineux, des jeunes forêts, des bois moyens, du gros bois : l’investisseur dans un GF peut réaliser un panachage impossible à mener individuellement, sauf à disposer d’une très grande fortune.

Cette diversification permet aussi de réduire les risques : si une violente tempête survient, tous les massifs ne seront pas touchés en même temps même si une maladie phytosanitaire touche une région. Le passage par un groupement permet aussi de déléguer la gestion des bois à des professionnels, qui détermineront les zones à couper, celles à replanter et qui choisiront les essences les mieux adaptées.

  • Un placement de sécurité

Le rendement est aujourd’hui comparable à celui de bien d’autres placements sécuritaires, comme celui de l’assurance-vie en euros, par exemple.

Il faut également compter sur une valorisation du prix de la part, calquée sur l’évolution de la valeur des forêts en portefeuille. Il n’est donc pas déraisonnable de viser une performance totale de 2,5% par an. Selon la Société Forestière de la Caisse Des Dépôts, les prix en vingt ans ont quasiment été multipliés par deux en vingt ans, avec des hausses plus importantes pour les forêts les plus demandées. L’augmentation est en grande partie liée à la hausse significative du prix du bois du fait de l’augmentation du nombre de constructions en bois et l’utilisation de bois de chauffage qui vient renforcer la demande. Le bois est une filière d’avenir.

Les investisseurs institutionnels sont de plus en plus nombreux à s’y intéresser, car elle améliore leur bilan carbone : une forêt exploitée capte 7 tonnes de CO2 à l’hectare, contre 4 seulement si elle est laissée en jachère.

  • Un rendement boosté par des exonérations d’impôts

Si le rendement est limité, il ne faut pas oublier d’y ajouter les avantages fiscaux. Le rendement d’un investissement en bois et forêts ne subit pas de pressions fiscales.

  • 75% d’abattement sur les droits de transmission, sans limite de montant et de lignée, sans contrainte de détention, sous réserve d’une gestion durable trentenaire des forêts
  • 100% d’exonération d’IFI sous réserve de détenir moins de 10% du capital du GFI et en contrepartie d’un risque de perte en capital.
  • Le bois : un actif décorrélé de l’évolution des marchés financiers

Un autre avantage réside dans la décorrélation entre les prix de la forêt et les marchés financiers, ce qui permet de stabiliser la valeur du patrimoine en cas de crise. Cet actif peut donc s’inscrire en diversification au sein d’une approche patrimoniale globale.

  • Le bois, un investissement plus liquide qu’on ne le pense

L’inconvénient que l’on reproche à un investissement en forêt est son manque de liquidité : il est vrai qu’il faut toujours analyser en amont d’un investissement les capacités de sortie, mais l’investissement dans un Groupement Forestier se fait dans une logique de diversification (5 à 7% maximum de son patrimoine) et dans une logique de long terme.

  • Une filière bois qui se porte bien en France

Ce secteur réalise dans son ensemble un chiffre d’affaires de 60 milliards d’euros pour une surface boisée de 16 millions d’hectares. En France, nous disposons de la 1ère forêt de feuillus d’Europe, de la 3ème de résineux et se classe 4ème producteur européen de bois avec un chiffre d’affaires de la filière bois qui représente 23 milliards d’euros.

  • Il existe des frais à l’investissement, des frais récurrents de gestion et des frais liés aux acquisitions des actifs forestiers qui sont capitalisés dans la valeur des parts du GFI
  • Risque de perte d’une partie ou de la totalité du capital. Risques d’exploitation et sur les revenus. Risque de liquidité. Risques naturels (climat, incendie, phytosanitaires).
  • La liquidité des parts n’est pas garantie, tant en termes de délais que de valeur.

DISCLAIMERS

Liste non exhaustive et non contractuelle. Cet article est une présentation simplifiée et ne constitue ni une offre de souscription ni un conseil en investissement.

Avant tout investissement, il est fortement conseillé à tout investisseur, de procéder, sans se fonder exclusivement sur les informations fournies dans cette présentation, à l’analyse de sa situation personnelle ainsi qu’à l’analyse des avantages et des risques afin de déterminer le montant qu’il est raisonnable d’investir. Pour une information complète sur les orientations stratégiques et l’ensemble des frais, nous vous remercions de prendre connaissance du prospectus, des DICI et des autres informations réglementaires accessibles sur simple demande auprès de notre cabinet.

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